La musique, un bienfait pour notre santé.

La musique a toute sa place en santé ; ainsi, la musicothérapie, encadrée par un thérapeute formé, peut aider des patients qui souffrent de troubles psychologiques ou de graves maladies à se sentir mieux. Mais écouter de la musique tout simplement chez soi peut aussi apporter de nombreux bénéfices. Alors… à vos playlists !!! Écouter de la musique aide à réduire l’anxiété, la douleur ou à se motiver pour faire du sport ou activités physiques. La musique agit sur le système de récompense du cerveau et stimule la libération de dopamine qui nous fait nous sentir mieux. La musique peut transmettre des émotions positives et a donc un effet positif sur l’humeur. La musique diminue le rythme cardiaque élevé dû au stress, l’hypertension et les niveaux de cortisol, qui sont tous trois des marqueurs du stress. La musique, plus efficace qu’un anxiolytique elle réduit l’anxiété de patients qui devraient subir une opération. Le cortisol est une hormone produite par les glandes surrénales à partir de cholestérol. Celle-ci est souvent appelée « hormone du stress ». Le fait d’écouter de la musique réduit la douleur, de même que l’anxiété, avant et après la chirurgie.

Elle peut aussi aider à l’apprentissage, favorise la motivation et peut améliorer les performances à un test cognitif. Cependant, le type de musique écouté joue probablement un rôle.

Mais attention, la « malmusique » existe tout comme la malbouffe !

Historique de l’abri antiatomique, élément protecteur contre la guerre nucléaire.

Inhérent à la guerre froide et au développement de l’arme nucléaire, l’abri antiatomique est une des composantes de la défense passive des deux superpuissances devant permettre à la fois la continuité du gouvernement et la préservation d’une partie de la population.

L’URSS aurait construit des abris antiatomiques dès le début des années . Ces structures s’inscrivaient dans une politique de défense civile, considérée comme faisant intégralement partie des capacités de défense soviétiques au sens large et qui comprend par exemple des projets d’évacuation des villes, la formation de groupes chargés de la protection civile ou contre les attaques bactériologiques et chimiques. En , dans un document alors classé « top secret », la CIA décrit les capacités de défense passive de l’Union soviétique et notamment ses abris antiatomiques « durcis » destinés aux dirigeants y compris au niveau local, avec postes de commandement alternatifs en dehors des villes. Le document fait aussi état des réseaux de métro des grandes villes conçu pour servir d’abri antiatomique et où sont construits des abris adjacents aux quais, restreints à « des groupes spécifiques » . Les structures industrielles importantes pour la vie ou la reprise de l’économie sont également incluses dans les plans soviétiques ; par exemple, la centrale électrique de Kharkov pouvait être opérée à distance à partir des abris destinés au personnel.

Aux États-Unis durant les années , les pouvoirs publics n’ont pas trouvé l’intérêt d’une défense civile structurée et organisée au niveau de l’État et concentrent leurs efforts par des campagnes éducatives sur les gestes à tenir en cas d’attaque et à la promotion de l’abri (privé) anti-retombées. C’est à cette époque que les organismes gouvernementaux consacrés à la protection civile publient un grand nombre d’affiches de sensibilisation et même des films comme le notoire Duck and Cover destiné aux écoles. À la fin de la décennie, l’Office of Civil and Defense Mobilization (en) distribue à plusieurs millions d’exemplaires un livret intitulé The familly fallout shelter (« L’abri familial anti-retombées »). L’ouvrage est destiné à inciter les familles à construire des abris en brique dans leur sous-sol ou en terre dans leurs jardins. Il contient aussi des plans détaillés d’abris à réaliser soi-même ainsi que des conseils allant du contenu de la trousse de premiers secours aux choses à faire pour éviter l’ennui et s’occuper l’esprit.

Le nombre d’abris individuels vendus aux États-Unis est estimé à environ 200 000 jusqu’au début des années , un chiffre à mettre en rapport à la population de cette époque (environ 180 millions d’habitants). La « folie du bunker » qui se serait emparée de la société américaine durant ces années est donc à relativiser car à cette époque, et contrairement à la croyance populaire, les Américains sont, dans l’ensemble, récalcitrants à toute forme de défense civile, mais surtout à l’idée même de l’abri antiatomique. L’opposition vient d’horizons très variés, les arguments le sont tout autant : coûts élevés, défaitisme face à l’ennemi, futile à l’heure des bombes thermonucléaires et de l’ICBM, militarisation de la famille, moyen détourné pour rendre une guerre nucléaire acceptable, jusqu’aux questions existentielles (pourquoi survivre dans un monde dévasté) et même religieuses.

Ainsi, dans l’esprit du public, le concept de l’abri antiatomique en tant qu’élément protecteur contre la guerre nucléaire s’est érodé globalement à partir des années  mais connaît parfois un regain d’intérêt – pas uniquement en Amérique – au gré des tensions entre les pays détenteurs de l’arme nucléaire, comme dans les années  entre les États-Unis et la Corée du Nord.

Janvier au potager.

Entretenez
  • Installez des planchettes en bois ou des pavés autobloquants pour créer des allées dans le potager afin d’éviter le tassement du sol qui serait néfaste en période de gel.
  • Protégez les choux en rabattant les feuilles extérieures sur le cœur.
  • Poursuivez les labours en incorporant du fumier et du compost pour nourrir le sol de façon optimale.
  • Vérifiez vos protections, surtout en cas de grand froids, sur vos poireaux et artichauts.
  • Nettoyez les vitres des châssis pour permettre le passage d’un maximum de lumière.
  • Aérez les châssis et les tunnels par beau temps.
Plantez
  • Continuez les plantations d’ail, d’oignons jaunes et d’échalotes lorsque le temps le permet et si la terre n’est pas gorgée d’eau.
  • Dans le Sud, plantez un carré de plantes aromatiques dans une zones surélevée, bien protégée et très ensoleillée du jardin. Veillez à bien drainer la terre avec du sable si le sol est lourd ou argileux. Installez-y le romarin, le thym, la marjolaine, la sauge, mais aussi la menthe ou le fenouil.
  • Toujours dans le Sud, plantez les griffes d’asperges et les oeilletons d’artichauts.
Protégez
  • Vérifiez les protections hivernales sur les légumes d’hiver fragiles, les intempéries aidant, elles ont pu être arrachées ou déplacées.
  • Complétez le paillage des légumes fragiles.
Récoltez
  • Récoltez les topinambours au fur et à mesure des besoins et brûlez les tiges et les feuilles souvent sujettes à l’oïdium.
  • Récoltez la mâche, l’oseille et les salsifis.
  • Récoltez les choux de Bruxelles.
Semez
  • Continuez à semer sur votre couche chaude préparée le mois précèdent les poireaux d’été, les carottes hâtives, les petits pois et les laitues de printemps. Couvrez le tout avec un voile d’hivernage que vous retirerez durant les heures les plus chaudes lors des journées ensoleillées.
  • Réalisez vos commandes de graines pour être prêts le printemps venu. Pensez à diversifier votre production en commandant des graines originales, des variétés différentes de tomates, de concombres et de courgettes et des légumes anciens trop souvent oubliés.
  • Faites vos premiers semis d’aubergines et de piments à la maison au chaud dans une mini serre que vous pourrez acheter en jardinerie ou sur les sites Internet spécialisés. Il est possible de la réaliser vous-même en vous inspirant de notre fiche traitant du sujet.

Une énergie plus propre et moins coûteuse ; un soleil artificiel.

En matière de production d’énergie, les scientifiques chinois ont choisi un modèle des plus ambitieux, le soleil. Ils travaillent actuellement sur une version artificielle de l’astre, censée fonctionner, comme l’original, sur le principe de la fusion nucléaire. Lancé en 2006, le programme HL-2M est en bonne voie pour être opérationnel en 2020.

L’objectif est de produire une énergie plus propre et moins coûteuse que les options nucléaires actuelles. Contrairement à la fission nucléaire, la fusion nucléaire, telle que celle produite par le soleil, n’engendre pas de déchets radioactifs.

Le Paulownia, cet arbre qui peut s’élever très rapidement et produire 4 fois plus d’oxygène que les autres.

image paulownia

Source de vie, un arbre est producteur d’oxygène. Il est essentiel pour notre climat et notre planète. Essentiel à la survie de notre espèce, il porte le rôle de purifier l’air que nous respirons. En son absence, cela peut conduire à l’anéantissement de nombreuses espèces, y compris l’espèce humaine, menaçant l’ensemble de notre écosystème.

L’un d’entre eux, en particulier, l’arbre Paulownia pousse en un temps-record et peut produire jusqu’à 4 fois plus d’oxygène que les autres. C’est presque un « superarbre », qui a des caractéristiques intéressantes à bien des égards. En particulier, il arriverait à absorber jusqu’à dix fois plus de dioxyde de carbone que les autres. D’autant plus qu’il orne parfaitement le paysage.

Les p’tits choux crème.

Les choux :
      • 200 gr de beurre salé
      • 375 gr de farine
      • 625 ml d’eau
      • 8 œufs
      • 3 cuillères à café de sucre
      • 3 pincées de sel

Commencez tout d’abord par la pâte à choux. Dans une casserole, faites chauffer le beurre salé coupé en morceaux avec l’eau et le sel. Une fois le tout fondu, versez la farine tamisée d’un seul coup. Mélangez vigoureusement à l’aide d’une cuillère en bois jusqu’à ce que la pâte se décolle de la cuillère et de la casserole en formant une boule. Hors du feu, ajoutez les œufs entiers un à un en mélangeant à chaque fois jusqu’à ce que la pâte soit bien homogène. A l’ aide de deux cuillères à soupe, déposer sur une plaque allant au four l’équivalent d’une bonne cuillère de pâte par choux. Faire cuire ds un four préchauffé à 200 degrés pendant 12 à 15 minutes. Recommencez pour chaque fournées et laisser complètement refroidir les choux.

La crème : 
      • 1,250 L de lait
      • 250 gr de sucre
      • 3 sachets de sucre vanillé
      • 5 jaunes d’œufs et 1 entier
      • 3 pincées de sel
      • 3 cuillères à soupe d’Amaretto

Faire chauffer le lait, le sucre vanillé et le sel. Pendant ce temps mélanger les œufs avec le sucre jusqu’à ce que la préparation blanchisse. Ajouter le lait petit à petit tout en continuant de mélanger. Verser la préparation dans la casserole et faire épaissir la crème sur le feu en mélangeant constamment. Réservez dans votre réfrigérateur.

Les p’tits choux crèmes :

A l’aide d’une paire de ciseaux, découper le chapeau du choux. Remplir de crème chaque choux et lui replacer son chapeau.

C’est prêt ! C’est encore meilleur lorsque vous les avez laissés quelques heures au réfrigérateur. De nombreuses recettes existent pour réaliser un glaçage. Vous pourrez en retrouver ici, que ce soit un glaçage au sucre, au chocolat, et colorés pour changer du côté classique et y mettre beaucoup de gaieté.

Petites crèmes au lait d’amandes et chocolat sans yaourtière.

Ingrédients :

  1. 500 ml de lait d’amandes.
  2. 50 g de chocolat corsé.
  3. 2 g d’agar-agar.

Préparation :

  1. Faites chauffer tous les ingrédients ensemble jusqu’à ébullition.
  2. Versez dans des récipients, puis mettez au frais.
  3. Laissez au minimum 2 heures avant de déguster.

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Yaourts sans lactose et au lait d’amandes maison en yaourtière.

Les ingrédients

Ingrédients pour 7 yaourts

  • 1 litre de lait entier sans lactose
  • 1 yaourt nature sans lactose
  • 3 cuillères à soupe bien pleines de lait d’amande (ça se trouve en magasin bio et épicerie diététique – prendre sans lactose ni gluten)

La recette pas à pas

  1. Mélanger le yaourt et le lait d’amande.
  2. Y ajouter le lait et bien brasser.
  3. Mettre en yaourtière pendant 10 heures.

La vie nous joue parfois des tours et les intolérances alimentaires sont, c’est le moins que l’on puisse dire, contraignantes. Cette recette répond en partie à ceux qui rencontrent ce type de difficultés. Pour revenir à la recette, le résultat ressemble à du yaourt : la texture est peut-être un peu moins ferme mais le goût, avec son léger parfum d’amande, en séduira plus d’un.

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Bonbons au miel maison pour le mal de gorge.

Ingrédients pour 5 petits sachets :
 
250g de sucre
250g de miel
175g d’eau
La recette.
Mettre tous les ingrédients dans une casserole. Chauffer la préparation jusqu’à ce qu’elle atteigne 160°. Cette température atteinte, éteindre le feu.
Verser la préparation sur une plaque recouverte d’un tapis en silicone ou légèrement huilé. Rabattre la préparation de chaque côté à l’aide d’une cuillère afin de former peu à peu un boudin large d’un cm. Lorsque la préparation n’est plus brûlante, on peut s’aider de ses mains, ça se manipule facilement.
Au ciseau, découper en biais vers la gauche puis vers la droite de petits berlingots. Les mettre à refroidir sans se toucher dans une assiette remplie de sucre glace. Les laisser reposer dans l’assiette une heure ou plus avant de les mettre en sachet ou dans une boite.
Comme les bonbons mous, il vaut mieux les mettre au réfrigérateur pour qu’ils se conservent mieux s’il fait chaud chez vous.
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Sortie de l’accord de Paris sur le climat pour les États-Unis au 04 novembre 2020.

Les États-Unis ont formellement notifié ce lundi 04/11/2019 à l’ONU leur sortie de l’accord de Paris sur le climat. Le retrait sera effectif un an après la notification. Le départ n’aura donc lieu au plus tôt que le 4 novembre 2020, le lendemain de la prochaine élection présidentielle aux États-Unis, à l’occasion de laquelle Donald Trump risquerait de briguer un second mandat. Les États-Unis, deuxième plus gros pollueur au monde après la Chine. À eux deux, la Chine et les États-Unis  seraient responsables de plus de 45 % des émissions de gaz à effet de serre de la planète ! Jusqu’en 2005, ce sont les États-Unis qui étaient les plus gros émetteurs de CO² devant la Chine mais la tendance s’est inversée l’année suivante. Depuis 2006, la Chine est sur la plus haute marche du podium des pollueurs. En retirant son pays de l’accord de Paris, Trump pourrait balayer du revers de la manche cet engagement. Sur le plan financier, le retrait des États-Unis pourrait alourdir la facture pour l’Union européenne et les autres pays leaders. Le retrait des États-Unis de l’accord de Paris est un mauvais signal. Car le pays de l’oncle Sam, qui s’était affirmé comme l’un des piliers, avec la Chine, de la réussite de la COP21, pourraient s’exclure des discussions internationales sur le climat.