Dès lors que les animaux et les plantes aquatiques sont impliqués dans les catastrophes, parfois invisible par l’homme, et beaucoup plus difficile à repérer, ils sont pourtant très affectés par la pollution. Les organismes vivants peuvent avoir des comportements anormaux. C’est avec le temps que son exposition, même à faible intensité que les ravages deviennent plus pertinents. Le temps d’actions étant souvent périmés, les conséquences socio-économiques ont souvent raison de l’environnement. Il y a donc des responsabilités partagées qui entrainent de gros débours financiers. Nombreux emplois marins en rapport avec nos consommations de la mer dépendent d’un environnement sain mais aussi de ses écosystèmes. Des rapports sur les changements climatiques montrent que les 75 mètres des océans du monde se sont réchauffées à un taux de 0,11° C par décennie.
Les preuves du changement climatique induit par la pollution causée par l’homme sont accablantes et il est clair que cela affecte l’environnement marin. Par conséquent, il peut être nécessaire de réévaluer et d’adapter certains paramètres couramment utilisés pour cet environnement changeant si l’on veut les utiliser à l’avenir comme systèmes d’alerte précoce à la pollution.