Éolien, solaire, biogaz, géothermie, énergies marines…N’en déplaisent aux plus sceptiques, les énergies renouvelables ont le vent en poupe.

Les plus largement développées, hydraulique, éolien, photovoltaïque, et biomasse (bois énergie), atteignent un niveau de coût compétitif avec les technologies conventionnelles. Qui aurait pu imaginer, il y a 10 ans, que le coût du solaire photovoltaïque serait divisé par 10 ? L’énergie éolienne est variable, mais pas intermittente. Les éoliennes produisent en moyenne 95% du temps. Avec les nouvelles technologies, on peut aussi prévoir de plus en plus la production d’une éolienne, 3 jours à l’avance. Et grâce aux évolutions technologiques, une éolienne peut désormais produire même avec des vents faibles. Rappelons que les éoliennes ont joué un rôle crucial et montré leur fiabilité pour produire à la place du nucléaire. Quant au solaire, trop de gens pensent encore que les équipements thermiques et photovoltaïques ne sont pas adaptés à nos climats. Que dire alors des pays scandinaves et de l’Allemagne qui ont largement développé la filière chez eux. Evidemment moins productif que dans le Sahara, le solaire n’en reste pas moins utile et complémentaire avec d’autres sources d’énergie renouvelable. Les sources d’énergie accessibles, l’eau, le soleil et le vent n’émettent ni gaz à effet de serre, ni particules fines. Bien qu’elle ne soit pas exploitable en l’état, une heure de lumière solaire envoie sur la planète l’équivalent de ce que le monde consomme actuellement en un an. Ça donne une idée « éclairée » du caractère intarissable de l’énergie solaire ! Les installations permettant de capter ces énergies propres produisent des quantités variables de Co2. Pour une éolienne, ça correspond à 12,7g de CO2 par kwh sur la totalité de son cycle de vie ! Une émission de Co2 rapidement compensée après douze mois d’utilisation.
Pour le solaire, c’est l’usage et la transformation du silicium, de terres rares et de plastiques pour fabriquer les cellules photovoltaïques des panneaux qui plombent le coût énergétique. Mais bonne nouvelle la marge de progression est énorme grâce au recyclage et à des technologies de plus en plus performantes.
Les grands barrages hydroélectriques sont d’un point de vue écologique les plus impactant. Comme ils modifient leur environnement, les projets de constructions titanesques sont aujourd’hui très contestés.On a bien fini par s’habituer aux autoroutes et aux grandes tours de béton. Tout est affaires de perspectives, et de rapport aux bénéfices portés par le secteur. C’est vrai que la pollution de l’air et le changement climatique sont invisibles à l’œil nu mais, dans un futur relativement proche, ils menacent d’appauvrir et de défigurer le paysage bien plus sûrement que les éoliennes. A 500 mètres , distance obligatoire pour une habitation, une éolienne produit 30 db, soit le bruit ambiant dans une chambre à coucher. À titre de comparaison, un frigo produit 40 db en moyenne. Il est possible de limiter au maximum l’impact sur les oiseaux en choisissant le lieu d’implantation des éoliennes comme par exemple, loin des points de passage des oiseaux en migration. Secteur très encadré par la loi, les professionnels ont à cœur d’améliorer leurs pratiques et les études montrent que la production d’électricité éolienne ne met pas en péril la survie d’espèces protégées ou même abondantes. Éolien, solaire, biogaz, géothermie, énergies marines. La plupart des emplois qui en sont liés se trouvent dans le secteur des fabricants de composants et de matériaux suivi par les services, tels que les travaux d’installation, la maintenance des installations éoliennes et les conseils. Le secteur des énergies renouvelables bénéficie d’investissements très importants et d’une image valorisante. Les objectifs ambitieux de nombreux pays participants comme la France, la Belgique, etc… L’Union Européenne dans le domaine des énergies renouvelables promettent un impact très important sur l’emploi dans les années à venir. N’en déplaisent aux plus sceptiques, les énergies renouvelables ont le vent en poupe et promettent un bel avenir d’ici, déjà 2020.

Le gaspillage alimentaire; Nous sommes tous concernés !!!

Le monde produit près de 4 milliards de tonnes de nourriture par an, mais 1,2 à 2 milliards de tonnes ne sont pas mangées, soit 88.000.000 de tonnes de nourritures gaspiller en Europe par an (173 kg par habitant). Ainsi 30% de ce qui est récolté n’atteint pas le marché. Les distributeurs jettent chaque année 1,6 millions de tonnes de fruits et légumes ne répondant pas aux critères de taille et d’apparence. 30 à 50% de ce qui est acheté dans les pays développés est jeté par les consommateurs, souvent à cause d’une mauvaise interprétation des dates d’expiration : « consommation recommandée avant » concerne la qualité du produit et non son risque sur la santé. Les données sur le gaspillage alimentaire mondial sont édifiantes. Le monde peut produire assez d’aliments pour nourrir les 6 milliards d’habitants de la planète. Malgré tout, 82 pays n’ont pas suffisamment de nourriture pour faire vivre l’ensemble de la population décemment.

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L’Allemagne, le pays de l’UE qui connait le plus fort taux de chômage.

Parmi les États membres de l’UE, l’Allemagne est le pays qui connait le plus fort taux de chômeurs en risque de pauvreté, devant la Lituanie. La moyenne de la zone euro est beaucoup plus basse, sans parler de la France ou de la Finlande qui ferme la marche avec 37,3%.

Le nombre de personnes cumulant deux emplois pour faire face au risque de pauvreté est de ce fait en progression. Plus de 2,2 millions d’Allemands ont un double emploi, près de deux fois plus qu’en France.

« Les droits économiques, sociaux et culturels visés à l’article 23 de la Constitution et d’autres droits devenus fondamentaux par l’évolution de la société »

« Les droits économiques, sociaux et culturels visés à l’article 23 de la Constitution et d’autres droits devenus fondamentaux par l’évolution de la société »

Les 15 droits identifiés sont :

  1. Droit à un revenu digne
  2. Droit à l’éducation, l’enseignement et la formation
  3. Droit au travail
  4. Droit à l’aide sociale
  5. Droit à la santé
  6. Droit à l’alimentation
  7. Droit à un logement décent
  8. Droit à l’énergie et à l’eau
  9. Droit à un environnement et un cadre de vie adaptés
  10. Droit à la mobilité
  11. Droit à une vie familiale et amoureuse non contrainte
  12. Droit à une vie sociale et culturelle
  13. Droit à l’accès numérique, aux technologies de l’information et de la communication
  14. Droit à la participation citoyenne et démocratique
  15. Droit à l’aide juridique

Économiquement; la Suisse.

L’économie de la Suisse figure parmi les plus prospères et les plus développées au monde en dépit de l’absence de matières premières et de son absence de débouché maritime. Le taux de chômage y est structurellement bas, de même que le taux d’inflation. L’industrie, tournée vers l’exportation, est largement spécialisée dans les produits à haute valeur ajoutée.

Comme la plupart des pays européens, la Suisse est essentiellement un pays de petites et moyennes entreprises (PME) occupant moins de 500 personnes, phénomène renforcé par le développement du secteur tertiaire : plus de 99 % des entreprises privées non agricoles étaient ainsi des PME en 2005, un chiffre qui a peu varié depuis la seconde moitié du xxe siècle. L’évolution du nombre moyen d’emplois à temps plein ne montre pas de tendance à la concentration malgré le dynamisme accru des grandes entreprises privées.

La philosophie de politique économique des autorités est de conception libérale et non interventionniste, ce qui se traduit par une défense du libre-échange, l’absence relative de secteurs subventionnés à l’exception notable de l’agriculture et des transports et une politique régionale dite « prudente ».

 

Plan de développement économique du continent Africain.

Malgré le récent ralentissement de l’économie mondiale et l’affaiblissement des résultats économiques, les économies africaines connaissent, avec ce que cela implique pour l’inclusion et la durabilité, les perspectives de croissance à long terme du continent, une progression actuelle exemplaire. Les six premières économies Africaines ; le Nigeria, l’Afrique du sud, l’Ethiopie, le Botswana, le Kenya, l’île Maurice, se discernent. L’Afrique poursuit son accroissement démographique d’une façon remarquable. Cependant, ces perspectives dépendront, d’une transition urbaine rapide, et ce, dans une très large mesure de gestion sachant qu’elle ne représente qu’environ 5% des échanges mondiaux. Seul l’industrialisation pourrait permettre son développement embryonnaire. Tirer parti de son urbanisation dominante et de cette vigueur, pourrait conduire et favoriser le développement industriel, en rétablissant le lien entre la croissance urbaine et la croissance industrielle.

La plupart des pays africains ne s’appuient que sur leurs matières premières quoique les prix de ces produits de base ne soient pas stables sur le marché international pour les exportations, ce qui résulte souvent des déficits sur les prévisions budgétaires. Les prix de ces matières de base et produits manufacturés sont fixés et imposés aux Africains par les demandeurs internationaux et se retrouvent donc confisqués. Ceci dit, en diversifiant son économie cela pourrait l’encourager vers un concept « made in Africa » et ainsi transformer des matières premières, fabriquer sur place ; se diversifier et forcement créer de l’emploi, en commerçant sur le plan national, régional et international dans les secteurs comme l’agriculture, la construction, le raffinage, le bois, les machines électriques, et les mines qui sont un secteur très diversifié et riche par ces minerais rares, comme le cobalt, l’uranium qu’on ne retrouve que dans le continent noir qui subit malheureusement des fraudes de certains comme en République Congolaise. L’importation de main d’œuvre sans transmission de compétences par la Chine, en prenant les matières premières sur le sol Africain, en leurs revendant manufacturés mérite aussi réflexion. Le Nigeria, Gabon, Congo, Angola, Côte d’Ivoire, Guinée Equatoriale, le Bénin, le Tchad, le Cameroun, etc, comptent sur l’exploitation pétrolière. Malheureusement, souvent exporté et raffiné ailleurs, le prix du baril n’est pas stable sur le marché international. En raffinant eux-mêmes leur pétrole, en multipliant les cimenteries et en développant la construction cela pourrait booster la prospérité dans ce continent. Aussi, en s’ouvrant à l’industrie avec l’utilisation des machines qui permettrait l’exploitation des vastes étendues, le secteur agricole et ses produits agricoles, comme les arachides, le riz, le cacao, le café, le coton, l’hévéa, etc, l’Afrique s’en sortirait donc être plus diversifié et donc ne plus importer ce qu’ils sauraient produire sur place en mettant fin à la subvention des importations de riz asiatique et donc le cultiver et l’industrialiser directement chez eux. La transformation du bois sur place pourrait beaucoup aider le continent noir.

En améliorant certains fondamentaux, avec des coûts moins élevés de transport, des sources d’énergie plus fiables et peu coûteuses, une main-d’œuvre plus éduquée, un élargissement des marchés, des différentes communautés économiques du continent, via le concept du « made in Africa », l’Afrique pourrait atteindre l’ensemble de ses objectifs et donc progresser considérablement.

Reformes Hartz I et Hartz II ; la pauvreté en forte augmentation pour 40% des citoyens Allemands.

Parmi les États membres de l’UE, l’Allemagne est le pays qui connait le plus fort taux de chômeurs en risque de pauvreté, devant la Lituanie. La moyenne de la zone euro est beaucoup plus basse, sans parler de la France ou de la Finlande qui ferme la marche avec 37,3%.

Depuis 2003, l’économie allemande a créé 2,5 millions mini-jobs sous les réformes Hartz, également connues sous « Agenda 2010 ».

Mini-jobs et midi-jobs désignent des contrats à salaire modéré, qui correspondent à un faible nombre d’heures travaillées. Les mini-jobs existaient avant les lois Hartz, la loi Hartz II a augmenté leur plafond maximum de salaire de 325 € à 400 € mensuel et a créé un échelon supérieur, les midi-jobs, avec une limite de salaire de 800 €. Les mini-jobs sont soumis à des cotisations sociales salariales nulles ou réduites. Le taux de cotisations patronales pour un emploi rémunéré en-dessous de 400 € mensuel est supérieur à celui d’un emploi salarié « normal » (environ 28 % au lieu d’environ 20 %, taux de cotisation patronal de droit commun). Une personne en mini-job n’a pas de droit au chômage et elle a des droits optionnels à la retraite : si le salarié en mini-job le souhaite, il peut s’acquitter d’une cotisation-retraite réduite de 4,9 % qui ouvre des droits similaires aux cotisations de droits communs. Un emploi mini-job n’ouvre pas de droits maladie dans la mesure où l’employeur ne verse pas de cotisations sociales à l’assurance-maladie. La personne peut néanmoins bénéficier d’une couverture maladie si elle a une autre activité qui lui ouvre des droits ou si elle reçoit des droits d’une autre personne de sa famille. Les midi-jobs sont soumis à un barème progressif de cotisations sociales jusqu’à atteindre le taux plein lorsque le salaire atteint 850 €. Une personne en midi-job a globalement les mêmes droits qu’un salarié soumis pleinement à cotisations sociales. Une croissance marquée de ces dispositifs, ainsi que des ein-euro jobs (dispositif d’insertion dans le secteur non marchand créé par la loi Hartz IV dans lequel le bénéficiaire continue de percevoir son allocation en plus d’une « compensation » d’au moins un euro de l’heure pour un travail d’utilité publique), peut être observée depuis 2004 :

• les effectifs en mini-jobs exercés en sus d’une activité rémunérée (déjà comptabilisés dans les chiffres d’emploi du fait de leur activité principale) ont fortement progressé, de 840 000 personnes, passant de 1,69 million de personnes en 2004 à 2,53 millions en 2011 ; ceux exercés comme seule activité ont en revanche augmenté de seulement 81 000 entre 2004 et 2011 (à 4,9 millions, dont 66 % de femmes) ;

• les effectifs en midi-jobs ont crû de 1,19 million en 2007 à 1,37 million en 2011 (dont 74 % de femmes) ;

• dès leur première année pleine d’existence, en 2005, les personnes occupants des ein-euro-jobs ont été plus de 200 000 ; le dispositif a continué de monter en charge jusqu’en 2009, avec plus de 320 000 emplois de ce type, puis a enregistré un fort recul en 2011, à 188 000.

En bref, cette progression de l’emploi a conduit à une baisse de 5 points du taux de chômage. Cependant, la pauvreté gagne une bonne partie des actifs allemands. Le nombre d’heures travaillées par 1/5e des Allemands sont en baisses constantes pour un salaire à 11 euros de l’heure. Le nombre de personnes cumulant deux emplois pour faire face au risque de pauvreté est de ce fait en progression. Plus de 2,2 millions d’Allemands ont un double emploi, près de deux fois plus qu’en France.