Grossesse gémellaire ; Porter deux enfants ou plus, est considéré comme étant à risque et mérite une surveillance rapprochée.

On parle de grossesse multiple ou gémellaire lorsqu’une femme attend plusieurs enfants : des jumeaux, des triplés, des quadruplés… voir plus. Ce type de grossesse est considéré comme à risque. Sur le plan médical, lors d’une grossesse multiple, plusieurs cas de figures sont possibles : les embryons sont issus du même ovule fécondé (on parle de « vrais jumeaux » ou monozygotes) ou bien issus d’ovules différents (on parle alors de « faux jumeaux » ou dysigotes) les embryons se développent dans un ou plusieurs placentas. Les embryons se développent dans une ou plusieurs poches amniotiques.

Les risques de complications pour la maman

La grossesse gémellaire met le corps de la mère à rude épreuve. Il existe un risque accru de diabète gestationnel, de surcharge pondérale, d’anémie, d’hypertension et de prééclampsie.

Les risques de complications pour les bébés

Le retard de croissance et la prématurité sont les deux grands risques encourus par les jumeaux. Le risque de malformations est également un peu plus élevé, particulièrement chez les monozygotes, c’est à dire les vrais jumeaux.

Suivi des grossesses multiples

Une échographie précoce permet de définir le type de grossesse gémellaire et d’organiser son suivi. Une fois par mois, une échographie est réalisée afin de surveiller le bon développement des foetus. Une visite mensuelle est également prévue chez votre gynécologue afin de suivre de près l’état de votre col utérin. De manière générale, vous devez vous ménager, vous faire aider, éviter les tâches difficiles et les longs trajets en voiture.

L’accouchement

Dans le cas d’une grossesse multiple, l’accouchement se fait, si possible, par voie basse, c’est-à-dire par les voies naturelles. Une césarienne n’est pratiquée que si votre premier jumeau à naître est mal positionné ou si l’un des bébés présente une souffrance fœtale. L’accouchement peut être déclenché avant le terme si les examens montrent que les bébés n’ont plus assez de place et de liquide amniotique pour bien se développer. Une grossesse gémellaire nécessite un diagnostic précoce, une surveillance étroite et du repos. Les grossesses multiples peuvent être mises en évidence dès la première échographie, avant le 3ème mois. Dès la 22ème semaine de grossesse, une échographie est réalisée chaque mois. Deux échographies mensuelles peuvent par ailleurs s’imposer si les jumeaux partagent le même placenta. Enfin, des consultations hebdomadaires sont conseillées pendant les dernières semaines de la grossesse, n’hésitez pas à demander conseils auprès de votre médecin. Aussi, le choix de la maternité est donc très important, car tout est prévu et préparé à l’avance pour accueillir les jumeaux, triplés, etc…

Les sujets stressés présentent un risque accru d’au moins 100% de connaître une crise cardiaque.

D’après une enquête menée par Belhealth et soutenue par Sciensano, qui surveille la santé et les maladies, le stress peut s’avérer préjudiciable à la santé des individus. Elles ont en effet au moins deux fois plus de risques d’être victimes d’une crise cardiaque. On reconnaît maintenant le stress comme un problème de santé préoccupant. Elles ont en effet au moins deux fois plus de risques d’être victimes d’une crise cardiaque.

Une crise cardiaque est une urgence médicale. Le cœur est souvent privé de sang en raison d’un caillot sanguin, ce qui entraîne une crise cardiaque. Lorsque le tissu cesse d’être irrigué, il perd de l’oxygène et meurt. Les signes avant-coureurs et symptômes sont des douleurs à la poitrine, pouvant s’accompagner de sensations : de serrement, de malaise, des douleurs qui irradient, pouvant s’étendre : En commençant par la poitrine. Essoufflement, pâleur, sueur et faiblesse générale, nausées, vomissements et parfois indigestions, peurs et anxiété. 

Le stress n’est pas la cause principale de l’hypertension artérielle mais il peut la favoriser ou l’aggraver. Certains patients présentent une réactivité tensionnelle anormale au stress, réaction intense et prolongée, qui augmente leurs risques cardiovasculaires.

Chez la femme, on peut le reconnaître  par une sensation de grande fatigue, un essoufflement récurrent, la perte d’appétit, des douleurs à l’abdomen, des brûlures d’estomac accompagnées de douleurs dans le bras gauche, l’apparition de symptômes grippaux et les brûlures. Parmi les facteurs de risque d’athérome, et donc d’infarctus du myocarde, certains peuvent être influencés par le tabagisme, l’excès de cholestérol et le diabète.

Les 7 bienfaits du chou-fleur : Pour quelle raison devrions-nous en manger ?

Le chou-fleur est un légume de la famille des crucifères. On le trouve sur les étals des marchés en automne et en hiver. Il se consomme aussi bien cru que cuit et les variétés colorées égayent les préparations. Peu calorique, il convient parfaitement à une perte de poids et contient divers bienfaits pour la santé.

Les 7 bienfaits du chou-fleur : pourquoi en manger?

Plusieurs études ont démontré que la consommation régulière de légumes de la famille des crucifères, comme par exemple le chou-fleur, le brocoli, le chou, le chou de Bruxelles, pourraient prévenir certains cancers, tels que ceux du poumon, des ovaires et des reins pour la femme.

Comme la majorité des légumes crucifères, le chou-fleur renferme des glucosinolates.
Les glucosinolates du chou-fleur ont la capacité de se transformer en molécules actives lorsque l’aliment qui en contient est haché, mastiqué ou au contact de la flore bactérienne intestinale.
Plusieurs de ces molécules contribueraient à limiter le développement de certains cancers.
La cuisson du chou-fleur entraîne une perte de glucosinolates. Ainsi, une cuisson modérée permettrait d’optimiser la formation de composés bioactifs. À ce jour, la concentration thérapeutique optimale de ces composés n’a toutefois pas encore été évaluée dans les études cliniques.

Le chou-fleur bouilli et le chou-fleur congelé sont de bonnes sources de vitamine C. Le chou-fleur cru est une bonne source pour la femme et une source pour l’homme. Le rôle que joue la vitamine C dans l’organisme va au-delà de ses propriétés antioxydantes; elle contribue aussi à la santé des os, des cartilages, des dents et des gencives. De plus, elle protège contre les infections, favorise l’absorption du fer contenu dans les végétaux et accélère la cicatrisation.

Le chou-fleur est une source de vitamine B6. Cette vitamine participe au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la fabrication des neurotransmetteurs, les messagers dans l’influx nerveux. Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leur permet de transporter davantage d’oxygène. Aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et elle contribue au bon fonctionnement du système immunitaire. Enfin, cette vitamine joue un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses.

Le chou-fleur est une source de vitamine B9. Cette vitamine participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Elle joue aussi un rôle essentiel dans la production du matériel génétique, dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme elle est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du foetus.

Le chou-fleur bouilli et le chou-fleur congelé sont des sources de vitamine K. La vitamine K est nécessaire pour la fabrication de protéines qui participent à la coagulation du sang. Elle joue aussi un rôle dans la formation des os. En plus de se trouver dans l’alimentation, la vitamine K est fabriquée par les bactéries présentes dans l’intestin, d’où la rareté des carences en cette vitamine.

Le chou-fleur congelé est une source de manganèse. Le chou-fleur bouilli en est une source pour la femme seulement. Le manganèse agit comme cofacteur de plusieurs enzymes qui facilitent une douzaine de différents processus métaboliques. Il participe également à la prévention des dommages causés par les radicaux libres.

Le concombre d’hier à aujourd’hui. (+ La recette « Concombre dans son rouleau de printemps aux trois saveurs d’été. »)

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Composé à plus de 95% d’eau, le concombre est un fruit rafraîchissant ayant une très faible valeur calorique. Il présente également un indice de satiété élevé et constitue un véritable atout pour les personnes qui surveillent leur ligne. Selon des chercheurs japonais, son index masticatoire élevé favoriserait, de plus, le déstockage des graisses abdominales. 

De la même famille que le melon, le potiron ou la courgette – les cucurbitacées -, le concombre est originaire de l’Himalaya.

Les premières traces de cette plante annuelle rampante remonteraient à 10 000 avant notre ère. Il a ensuite gagné l’Inde, puis le Moyen-Orient et la Chine avant de conquérir « les assiettes » des Égyptiens. Arrivé chez les Hébreux, il prend ses lettres de noblesse en apparaissant dans la Bible. Selon ses écrits, la sagesse de Salomon, la force de Samson et le lyrisme de David seraient dus aux vertus du concombre… En France, c’est Charlemagne qui le fit connaître en ordonnant sa culture sur ses terres.
Mais ce long légume, très amer à l’époque, ne connaît vraiment le succès qu’au 17ème siècle. La Quitinie, en digne jardinier de Versailles soucieux de satisfaire son bon roi Louis XIV, qui raffolait de potages à base de concombres, inventa la culture de ce légume sous serre. C’est d’ailleurs le mode de production le plus courant aujourd’hui, au détriment de la culture en plein champ.

De mai à juillet, le « concombre », comme on l’appelait jusqu’au 17ème siècle, colore les étals en provenance notamment du Loiret ou de l’Yonne (cultivé en serre chauffée sous abri) ou des Pays-Bas et d’Israël. Il existe de nombreuse variétés de ce légume, classées en deux familles : 
  • l’épineux : très amer, il est reconnaissable à ses quelques épines sur la peau. On le cultive avant tout dans le Sud de la France.
  • le hollandais : c’est le plus courant sur nos marchés. Il a été développé aux Pays-Bas au lendemain de la Seconde guerre et a conquis les papilles grâce à sa très légère amertume.

Enfin, aux Antilles, on trouve un concombre de forme ovoïde et épineux. Appelé « angurie », on le déguste volontiers confit dans du vinaigre, comme un cornichon.

Le concombre se déguste pendant le mois de juillet et août. En primeur il se consomme en mai.

Choisissez-le bien et ferme mais pas dur, car il serait trop amer. Préférez-le petit car plus il est gros, plus il contient de graines qui le rendent amer et fade.

Conservez-le au réfrigérateur pour qu’il reste bien croquant, pas plus de 5 jours pour éviter qu’il devienne mou. Si vous ne l’utilisez pas entièrement, emballez-le soigneusement dans du papier film. Évitez tout changement de température brutal (pas de congélation). Très frais et bien lisse vous pouvez le consommer cru, et s’il n’est pas enduit de cire, vous pouvez vous passer de le peler. Si ses graines sont dures, ôtez-les car elles sont trop amères.
Petit et frais, il n’est vraiment pas nécessaire de le faire dégorger. Si la recette le préconise malgré tout, n’oubliez pas de bien l’égoutter à l’aide d’une passoire.

Et pour en ajouter un peu, la recette associée à l’histoire…

Concombre dans son rouleau de printemps aux trois saveurs d’été.

INGRÉDIENTS

  • 2 carottes
  • 1 mangue
  • 1/2 concombre
  • 1 avocat
  • 1 citron vert bio
  • menthe
  • 10 galettes de riz

PRÉPARATION

1.  Couper en julienne les carottes, la mangue, le concombre, l’avocat

2.  Citronner l’ensemble et parsemer de menthe fraîche

3.  Réhydrater les galettes de riz (passer rapidement sous l’eau) et laisser la galette s’assouplir

4.  Déposer un bandeau de crudités le long de la galette, rabattre les cotés, roulez, c’est prêt !

À servir avec une sauce de poisson (nuoc mam) diluée avec du citron, du sucre, du piment et ail. Pour ceux qui veulent rester sur une option purement vegan, c’est très bon avec une sauce « hoisin « .

Bon appétit !

Les recettes de Lionel & Mélanie. https://mediastudio.online/category/les-recettes-de-lionel-melanie/

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L’avortement, un droit difficile à obtenir.

Simone de Beauvoir nous avait prévenus: « N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse, pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis ».
Aux Etats-Unis, le droit à l’avortement pourtant reconnu depuis 1973 et garanti par le XIVème amendement est remis en cause.
Depuis le début de l’année, 28 des 50 États américains ont mis en place de nouvelles lois pour en limiter l’accès de façon drastique. En Alabama, l’avortement est désormais interdit même en cas de viol ou d’inceste et les médecins le pratiquant risquent jusqu’à 99 ans de prison.
En Europe, le droit à l’avortement recule aussi. Soit par la loi, soit par le refus massif des médecins de le pratiquer.

8 recettes d’eaux aromatisées pour rafraîchir vos journées ensoleillées.

Fraise, fruit exotique, citron vert… les eaux se mettent au parfum des fruits et leurs saveurs douces ou acidulées nous font saliver. Souvent moins caloriques, elles remplaceront avantageusement les sodas dont on raffole tant. Il fait chaud ! Je vous propose donc de l’eau aromatisée ou parfumée. Voici 7 recettes qui émerveilleront vos journées ensoleillées. A consommer sans modération.

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1) Fraise, concombre, citron vert et menthe

Ingrédients :

– 175g de fraises coupées en tranche

– 175g de concombre coupé en tranche

– 2 citrons verts coupés en tranche

– feuilles de menthe

– eau plate ou gazeuse

– des glaçons

Préparation :

Dans un pichet, mélangez fraises, concombres et tranches de citron vert. Rajoutez les glaçons. Découpez les feuilles de menthe que vous rajouterez à la boisson. Remplissez le reste du pichet avec de l’eau (plate ou gazeuse). Laissez refroidir dix bonnes minutes, et dégustez les doigts de pied en éventail.

2) Orange et myrtille

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Ingrédients :

– 2 oranges découpées en quartiers

– une poignée de myrtilles

– eau fraîche

– glaçons

Préparation : 

Mélangez tous les ingrédients dans un pichet et laissez reposer dans le frigo deux heures ou plus si vous voulez être sûr que les fruits infusent. Vous pouvez également écraser les myrtilles pour accentuer le goût.

3) Pastèque avec une touche de menthe

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Ingrédients :

– 350g de pastèque coupée en tranche

– des feuilles de menthe

– eau fraîche

– glaçons

Préparation : 

Dans un pichet, mélangez la pastèque, les feuilles de menthe et les glaçons. Remplissez le tout avec de l’eau et laissez reposer 2 à 8 heures dans le frigo. N’hésitez pas à doser la menthe en fonction de vos goûts.

4) Orange et coriandre

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Ingrédients :

– 2 oranges découpées

– feuilles de coriandre

– eau fraîche

– glaçons

Préparation :

Mélangez les tranches d’orange avec les glaçons dans un pichet. Rajoutez la coriandre (préalablement découpée). Écrasez le tout avec le dos d’une cuillère pour libérer les saveurs. Remplissez le pichet avec de l’eau et laissez reposer au moins une heure.

5) Pamplemousse avec du romarin

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Ingrédients :

– 1/2 pamplemousse

– quelques brins de romarins

– eau fraîche

– glaçons

Préparation :

Dans un pichet, mélangez le pamplemousse et les glaçons. Ajoutez le romarin. Remplissez le pichet d’eau fraîche et laissez reposer toute la nuit.

6) Kiwi et concombre

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Ingrédients :

– 6 kiwis pelés

– 1 concombre pelé et épépiné

– sucre en poudre en fonction de vos goûts

– eau fraîche

– glaçons

Préparation :

Mixez les kiwis, le concombre ainsi que le sucre avec deux verres d’eau fraîche. Dosez le sucre selon vos goûts, si vous aimez plus ou moins l’acidité du kiwi. Dans un pichet, versez le contenu du mixeur avec de l’eau. Ajoutez les glaçons pour vous faire une boisson légère. Décorez à votre guise avec des tranches de kiwi.

7) Melon d’Espagne , citron vert et framboise

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Ingrédients :

– 1 melon d’Espagne bien mûr

– 110g de sucre en poudre

– 5 citrons verts

-140g de framboises

– eau fraîche

– glaçons

Préparation :

Coupez le melon en deux et épépiné-le à l’aide d’une petite cuillère. Séparez la chair de la peau du melon et coupez-là en cube. Mixez-les avec votre mixeur. Si possible, utilisez un tamis pour séparer la pulpe restante et ne récupérez que le jus. Dans un pichet, versez le jus du melon avec de l’eau jusqu’au deux tiers du pichet. Adaptez selon les goûts, si vous préférez du concentré ou pas. Dans un autre bol, mélangez le jus du citron vert et le sucre. Ce sera beaucoup plus facile pour le sucre de se dissoudre. Puis rajoutez le tout dans le pichet avec le melon. Vous pouvez servir avec quelques framboises en accompagnement.

8) Mangue et citron vert
Ingrédients :

– 1 mangue

– 2 cuillères à café de jus de citron vert

– 4 cuillères à café de sucre en poudre

– eau fraîche

– glaçons

Préparation :

Dans un mixer, mélangez sucre, mangue, citron vert et eau (selon les préférences de chacun). Rajoutez des glaçons et vous pouvez servir ! Quoi de mieux au goûter que cette délicieuse recette ci-dessous pour accompagner ces rafraîchissantes boissons faites maison.

La patience est le secret d’une bonne eau aromatisée. L’idéal est de laisser reposer votre préparation pendant une nuit pour que les aliments aient eu le temps de s’imprégner à l’eau.

En quoi consiste la pasteurisation ?

La pasteurisation, ou débactérisation thermocontrôlée, est un procédé de conservation des aliments par chauffage à une température comprise entre 66 et 88 °C, pendant une durée définie, suivi d’un refroidissement rapide. La pasteurisation sert à détruire les bactéries des aliments sans pour autant changer leur composition, leur saveur ou leur valeur nutritive. La pasteurisation a été inventée par Pasteur et a été définie comme étant un procédé consistant à chauffer un produit pendant deux heures à 63°C, à pression atmosphérique.

La pasteurisation est donc un procédé de conservation des aliments qui consiste à chauffer ces derniers à une température définie, pendant une durée elle aussi définie et à une pression généralement ambiante. La valeur pasteurisatrice, qui définie le couple temps/température de la pasteurisation, est fixée de manière à détruire la totalité des bactéries pathogènes, et ce en évitant de dénaturer le produit. Les températures de pasteurisation varient peuvent aller jusqu’à 88 °C. Lorsque cette température est dépassée, on attaque l’intégrité chimique de certains éléments du produit, le rendant inapte à porter le qualificatif de « frais ». Les aliments seraient alors stérilisés et non plus pasteurisés.

La pasteurisation peut être effectuée pour assurer la bonne conservation :

  • des confitures et compotes ;
  • du miel ;
  • du vin, de la bière et du cidre ;
  • des jus de fruits et notamment les jus de pommes ;
  • des fruits en sirops et des concentrés de légumes ;
  • de certaines viandes.

Le lait fait partie des denrées alimentaires les plus concernées par les principes de pasteurisation et de stérilisation. Il est ainsi possible de consommer du lait pasteurisé, également appelé lait UHT, du lait pasteurisé ou encore du lait biologique n’ayant subi aucune transformation par la chaleur. La pasteurisation ne garantissant pas la disparition de l’intégralité des germes, il est recommandé de consommer rapidement les aliments pasteurisés, qu’ils soient solides comme liquides. Afin de réaliser soi-même des jus de fruits et des confitures maison dépourvus de bactéries pouvant être à l’origine d’intoxications alimentaires et de maladies, il est possible de les pasteuriser après leur préparation, directement dans la cuisine. Ainsi, à titre d’exemple, un jus ou une compote peuvent être pasteurisés en :

  • les plaçant d’abord dans une casserole au bain-marie et en portant l’eau du bain-marie à une chaleur de 70°C ;
  • laissant les aliments dans l’eau chaude pendant une minute ;
  • puis en les versant dans des bocaux ou des bouteilles en verre, préalablement stérilisés pour davantage d’hygiène.

Avant toute dégustation des préparations pasteurisées maison, il est recommandé de sentir et goûter préalablement les aliments. Ceux dont le goût ou l’odeur paraissent douteux doivent être jetés afin de ne prendre aucun risque.

3 astuces pour faire aimer les légumes aux enfants.

Ce n’est pas toujours facile de faire manger des légumes aux enfants, il faut souvent faire preuve d’imagination et trouver des tonnes d’astuces. À chaque repas, c’est toujours le même casse-tête. Votre enfant refuse de manger les légumes qui se trouvent dans son assiette, il pleure, jette le contenu sur le sol, vous vous énervez. Bref, l’angoisse !

Votre enfant préférerait ne se nourrir que de frites, jambon, pâtes, chocolat, bonbons et faire l’impasse sur tout ce qui est vert type haricots verts, épinards, petits pois, brocolis orange du genre carotte. Pas de panique ! On vous partage nos 3 astuces pour lui faire manger et apprécier les légumes.

Pour faire manger des légumes à votre enfant, Allez-y progressivement !

Proposez des légumes agréables à regarder et donc plus tentants à manger. Soignez la présentation dans l’assiette. Avec certains légumes, vous pouvez réaliser des formes ludiques ou géométriques, créer un visage dans l’assiette avec des rondelles de tomates, de concombre ou de carottes, et ainsi de suite. Laissez parler votre imagination, et associez des fruits et des légumes.

Il suffit de prononcer le nom d’un légume pour que l’enfant montre immédiatement son dégoût. Servir des légumes cuits à l’eau ou à la vapeur ne remporte que peu de succès. Il convient donc de ruser, de dissimuler les légumes ou de revisiter certains plats. Mélangez des épinards à de la purée de pommes de terre, ajoutez des courgettes à votre potage avant de le mixer, incorporez quelques morceaux de chicon à votre gratin de pommes de terre, ajoutez du céleri râpé à une galette jambon – fromage, ajoutez des carottes à la sauce spaghetti, des tranches d’aubergines à la lasagne… Ni vu ni connu ! 

Les enfants ont souvent des idées préconçues concernant les légumes. Au marché, au magasin ou à la maison, expliquez leur le bienfait, laissez-les toucher, sentir, demandez leur de vous aider à les cuisiner, élaborez ensemble une recette.

Taux de nicotine manipulé par les fabricants de tabac.

En 1994, le journal ABC News a présenté des preuves que les fabricants de tabac manipulaient le taux de nicotine des cigarettes afin d’assurer un niveau de dépendance optimal. Selon Jack E. Henningfield et Neal L. Benowitz, les études menées par l’industrie du tabac et par des chercheurs non spécialisés dans l’industrie du tabac confirment que les effets pharmacologiques de la nicotine sont des facteurs déterminants de la motivation des fumeurs.

La nicotine aurait toutefois des propriétés, comme d’améliorer la concentration et la mémoire. Elle possède également des propriétés fongicides, acaricides et insecticides.

L’usage de la nicotine comme insecticide est cependant interdit en France.

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Quels sont les sonnettes d’alarme qui peuvent aider à révéler que quelque chose ne fonctionne pas, les signes typiques d’une relation de couple malheureuse?

Quels sont les sonnettes d'alarme qui peuvent aider à révéler que quelque chose ne fonctionne pas, les signes typiques d'une relation de couple malheureuse image

Être de moins en moins ensemble. Il ne s’agit pas seulement de vivre dans la même maison, le temps que nous passons ensemble ne se mesure pas en quantité mais en qualité.

Se mentir l’un à l’autre. La sincérité est la pierre angulaire de toute relation saine, lorsque vous commencez à mentir, vous créez une fissure qui, tôt ou tard, brisera le lien qui tient unit.

Regarder la télé en silence. Dans un couple en crise, l’un des éléments les plus manquants est la communication. À un certain moment, on cesse de se parler et de se raconter les épisodes de la journée : on reste silencieux et on fixe l’écran. Même une chose banale comme regarder un film ou une émission ensemble peut être un moment de détente à partager près l’un de l’autre.

Limiter les expressions d’affection. Les baisers et les câlins sont aussi importants dans l’intimité que dans la vie quotidienne. Chaque effusion est différente en intensité et en signification selon le contexte et le temps. Réduire ou éliminer cette habitude, c’est manquer d’amour, de soutien, de réconfort ou de complicité.

Se disputer trop souvent. Le dicton selon lequel il faut aussi se disputer en amour est valable jusqu’à un certain point. Quand un couple a tendance à presque toujours se parler d’une manière agressive, seuls le malaise, l’anxiété et la tristesse se créent.

C’était quelques sonnettes d’alarme qui peuvent aider à révéler que quelque chose ne fonctionne pas , signes typiques d’une relation de couple malheureuse.

Chaque relation est un monde en soi et il n’est certainement pas facile de maintenir l’harmonie et la sérénité. La clé de tout, cependant, c’est la volonté mutuelle d’être ensemble. L’amour, au-delà des images poétiques du cinéma ou des chansons, est fondamentalement un grand travail d’équipe.

Pour ne pas perdre ou estomper les sentiments qui ont donné naissance à une histoire, il faut protéger les petits gestes et les habitudes, ne jamais se considérer pour acquis, ne jamais cesser de se souvenir de la beauté et de la chance de s’être rencontrés.

Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons continuer à nous tenir la main malgré la fatigue, les rides et le temps.