Les petits maux de la grossesse à la loupe.

Nausées, lombalgie, problèmes circulatoires, vergetures… autant de petits maux qui accompagnent souvent la grossesse. Voici un petit test instructif pour tester vos connaissances. C’est parti !

Les nausées…

Les nausées, comme une future maman sur deux, vous n’y couperez sans doute pas en début de grossesse ! A quoi sont-elles dues ? Sont-elles réservées aux premiers mois ? Comment les soulager ? On fait le point avec notre dossier nausées.

La cause des nausées chez la femme enceinte n’est pas clairement identifiée.

Il pourrait y avoir un lien entre la quantité de l’hormone HCG dans le sang (la gonadotrophine humaine, fabriquée par l’embryon puis par le placenta) et la fréquence de ce trouble au 1er trimestre de la grossesse.

Constipation, ballonnements, hémorroïdes, brûlures d’estomac…

Parmi les maux de la grossesse, certains concernent plus particulièrement les derniers mois. C’est le cas de la constipation, des hémorroïdes et des brûlures d’estomac. Au-dessus et en-dessous du nombril, il arrive que rien n’aille plus !

La constipation s’explique par une digestion ralentie lors de la grossesse, suite à l’action de la progestérone sur le tube digestif.

L’intestin se trouve aussi comprimé au fil des jours par l’utérus, ce qui complique le transit.

Les « brûlures d’estomac » s’expliquent par une remontée acide de l’estomac vers l’œsophage. Très fréquentes chez les femmes enceintes, elles surviennent souvent après ingestion de nourriture ou de boisson.

Les causes des brûlures d’estomac sont multiples : une pression plus grande sur cet organe par le bébé, l’action des hormones et une moindre efficacité du sphincter qui sépare le tube digestif de l’estomac.

De fréquentes envies de faire pipi…

Parmi les nombreux petits maux qui émaillent le quotidien des femmes enceintes, il en est un qui se fait plus pressant que les autres ! L’envie quasi incessante de faire pipi constitue parfois l’un des tout premiers signes annonciateurs d’une grossesse.

Le début de la grossesse se marque souvent par une envie plus fréquente d’uriner, que l’on appelle la pollakiurie. Ce symptôme peut se prolonger jusqu’au terme de la grossesse.
Il s’explique par une augmentation du volume de l’utérus, qui comprime la vessie et les voies urinaires. Ceci peut également causer des infections (cystites, etc.).

Votre grossesse se déroule parfaitement pour vous et votre bébé. Pourtant, depuis peu, vos rires, vos quintes de toux ou vos efforts lorsque vous vous baissez ou soulevez un poids déclenchent des émissions incontrôlées d’urine. Ne vous inquiétez pas, les fuites urinaires ne sont pas si rares pendant la grossesse.

Maux de tête…

Les femmes enceintes ont souvent mal à la tête durant leur grossesse, particulièrement au début. Ce phénomène survient sous l’action des hormones et n’est pas dangereux pour la santé de la mère ou de l’enfant. Il peut aussi s’expliquer par une inflammation des sinus.

Par contre, si les maux de tête persistent ou sont très intenses, il est recommandé d’en parler à un médecin pour exclure toute pathologie (méningite, trouble de la circulation sanguine, tumeur…). Associés à une tension artérielle élevée, les maux de tête peuvent être le signe d’une Pré-éclampsie

Essoufflement…

L’essoufflement fait partie des petits maux de la grossesse les plus courants. Dans la grande majorité des cas, il n’a aucune gravité. Cependant, la présence de certains symptômes accompagnateurs doit vous pousser à consulter par précaution.

Fatigue et somnolence…

La fatigue et un état somnolent se rencontrent très souvent au 1er trimestre de la grossesse. Ce symptôme normal est dû à la production croissante des hormones, spécialement de la progestérone. Le corps se prépare également en fabriquant plus de sang, ce qui augmente le rythme cardiaque et la respiration.

Grosse fatigue les trois premiers mois, insomnie les trois derniers… le bouleversement hormonal – mais aussi psychologique – pendant la grossesse vous joue peut-être des tours la nuit… et le jour !

Au 3ième trimestre de la grossesse, le poids du corps et la difficulté de trouver une position confortable pour dormir peuvent devenir épuisants pour la mère.

Démangeaisons : le prurit de grossesse

Caractérisé par des démangeaisons plus ou moins importantes, le prurit de grossesse fait partie des maux courants de la femme enceinte. Habituellement, il s’agit d’un trouble bénin, très rarement, il peut nécessiter une prise en charge et une surveillance médicale particulière.

Les problèmes de circulation…

Crampes, sensation de jambes lourdes, œdèmes… font partie des maux de la grossesse. Sous l’effet des hormones et du poids de votre bébé, la circulation de retour est ralentie.

Le sang contenu dans les jambes remonte vers le cœur par les veines. En temps normal, leur paroi tonique et les petites valves présentes à l’intérieur permettent de contrer l’effet de la gravité. Cependant, lors de la grossesse, ce mécanisme est affaibli.

  • La progestérone agit sur la paroi veineuse en la relâchant.
  • La prise de poids et le volume sanguin supplémentaire du corps dilatent les veines et augmentent la pression sanguine. Ceci diminue l’efficacité du retour veineux vers le cœur.
  • La veine cave transporte le sang des membres inférieurs vers le haut du corps, mais l’utérus la comprime de plus en plus au fil de la grossesse.

En conséquence, la circulation a tendance à ralentir voire à stagner, provoquant des varices, le gonflement des chevilles ou des pieds, des douleurs dans les jambes ou une sensation d’inconfort (jambes lourdes). L’effort musculaire supplémentaire peut aussi donner des crampes, parfois la nuit.

Le mal de dos…

Il n’est pas réservé aux derniers mois ! A chaque trimestre ses solutions face à l’un de ces fréquents maux de la grossesse.

Il est fréquent d’avoir mal au dos pendant la grossesse. Plusieurs facteurs expliquent ces douleurs :

  • L’augmentation du poids provoque un déplacement du centre de gravité du corps. Ceci s’accentue évidemment avec la progression de la grossesse.
  • Les hormones impliquées dans la gestation (œstrogènes, progestérone et relaxine) favorisent l’assouplissement des ligaments en vue de l’accouchement.
  • L’utérus peut également compresser le nerf sciatique.

Les vergetures…

Pendant la grossesse, la tonicité de l’épiderme est mise à rude épreuve. Ses fibres élastiques sont tendues et risquent de « craquer » en laissant des marques appelées vergetures. Une fois installées, elles sont difficiles à effacer. Alors, mieux vaut prévenir…

Les vergetures apparaissent en milieu de grossesse sur le ventre, les seins, les cuisses et les fesses. Ce sont des lignes irrégulières rougeâtres ou violacées, signes de l’étirement rapide de la peau lorsque l’on prend du poids. Elles se forment dans le derme.

Les hormones influencent la survenue des vergetures, car elles diminuent l’élasticité de la peau, déjà différente d’une femme à l’autre au départ. Elles ne disparaissent pas après la grossesse. En revanche, elles ont tendance à s’estomper.

Attention, si ces symptômes deviennent trop encombrants ou s’aggravent, consultez votre médecin ou votre gynécologue.

Le masque de grossesse…

Le soleil, c’est bon pour le moral… mais dès ce deuxième trimestre, évitez d’exposer votre joli visage sous peine de voir apparaître de vilaines taches brunes, le masque de grossesse. Deux tiers des futures mamans sont concernées.

Gingivite de grossesse…

Le saignement des gencives – ou gingivite – concerne 6 femmes sur 10 pendant leur grossesse, d’où la nécessité de le prévenir ou de le guérir. La solution ? Prendre soin de vos dents, bien sûr, mais l’homéopathie et la phytothérapie peuvent aussi vous aider.

Ce désagrément, qui apparaît souvent au 3ième mois de grossesse, provient des bouleversements hormonaux. Ils favorisent l’hyper-vascularisation et le gonflement des tissus. Les gencives enflent et deviennent plus sensibles lors des contacts.

Les caries surviennent plus fréquemment, à cause de l’inflammation des gencives et d’une acidification de la bouche liée aux vomissements et au reflux gastrique. Les femmes enceintes mangent aussi plus régulièrement et consomment davantage d’aliments sucrés, sources de soucis bucco-dentaires.

 

Chromosome x, chromosome y, c’est le spermatozoïde du papa qui détermine le sexe de Bébé !

C’est le spermatozoïde du papa qui détermine le sexe de Bébé ! En effet, chaque spermatozoïde contient 23 paires de chromosomes dont une paire de chromosomes sexuels (un chromosome x et un chromosome y). Il en est de même pour les femmes à ceci près que chaque ovocyte contient une paire de chromosomes sexuels composée de deux chromosomes x. Au moment de la fécondation, le spermatozoïde et l’ovocyte donnent chacun une moitié de leur capital génétique (à savoir un gène par paire). C’est ainsi que se compose le patrimoine génétique de la cellule œuf. Pour ce qui est de la paire de chromosomes sexuels, l’ovocyte donnera forcément un chromosome x. En revanche, le spermatozoïde pourra aussi bien donner un chromosome x qu’un chromosome y. Si c’est un x, Bébé sera une fille, si c’est un y, Bébé sera un garçon !

1 ère semaine d’aménorrhée; C’est ca l’amour.

C’est ça l’amour…

Pour que la vie se transmette, la rencontre de 2 gamètes est nécessaire, l’ovule et le spermatozoïde. Par cette fécondation, La combinaison des patrimoines génétiques des 2 parents donne naissance à l’œuf. Celui ci est formé, la première cellule d’un nouvel être est née. C’est le début de la vie.
L’œuf parcourt ensuite la trompe de Fallope et migre doucement vers l’utérus où il sera protégé et nourri. la nidation en tant que telle ne se fait que 7 jours après la fécondation, soit environ 22 jours après le début des dernières règles.

Ce voyage vers l’utérus peut être interrompu si l’œuf se fixe de façon anormale dans la trompe de Fallope c’est ce qu’on appelle grossesse extra utérine. N’ayant pas la place de se développer, il meurt avant le 3ième mois. Il est indispensable d’intervenir le plus tôt possible pour ne pas abîmer la trompe, ni la faire éclater. En cas de saignement, consultez dès que possible votre gynécologue.

 

De façon plus scientifique, à ce stade de votre grossesse, on ne peut pas vraiment encore parler de bébé… Après la fécondation, l’œuf se divise et se divise encore, jusqu’à ressembler à une petite mûre de 150 millièmes de millimètres. Durant la semaine 1 de grossesse, on parle de morula. Les grosses cellules de la morula se placent au centre et forment le bouton embryonnaire, futur embryon. Les petites cellules de la morula, elles, se placent tout autour et deviendront le placenta.

Durant cette semaine 1 de grossesse, l’œuf migre des trompes de Fallope vers l’utérus, cette phase s’appelle la nidation.

A la fin de la semaine 1 de votre grossesse, celui que l’on appelle désormais embryon mesure 0.1 millimètres. Il se trouve dans l’utérus mais n’a pas encore été véritablement implanté.

Du coté de la future maman : Pendant la semaine 1 de grossesse, rien ne laisse présager que vous puissiez être enceinte. En effet, vous n’avez pas encore constaté de retard de règles et vous n’avez pas prise de poids. Seul petit changement possible de cette semaine 1 de grossesse : vos seins pendant la grossesse vous paraissent plus gonflés qu’à la normale.

Une chose est sûre, durant cette semaine 1 de grossesse, le mystère reste total !

Préparez-vous aussi à annoncer la nouvelle au « futur » papa. On ne sait jamais.

Cinq mille emplois chauffeurs routiers vacants.

La Fédération Royale Belge des transporteurs et des prestataires de services logistiques, doit faire face à une pénurie de chauffeurs routiers. Chaque jour, la liste de demande augmente à une vitesse grand V. Il y aurait aujourd’hui près de 5000 emplois vacants dans le secteur et les candidats se font attendre.

D’ampleur national, le problème met en avant la solution d’un plan de recrutement déjà mis en place. Chauffeur routier, un métier, qui lui, est porteur d’emplois, est face à une véritable demande constante de service qui n’attend donc que de nombreux candidats.

Barry menace la Nouvelle Orléans.

La ville de La Nouvelle-Orléans se préparait mercredi à recevoir la première grosse tempête tropicale de la saison, qui pourrait se transformer en ouragan vendredi et qui a incité le gouverneur de Louisiane à décréter l’état d’urgence.

« Il est trop tôt pour dire quel sera l’impact mais nous pensons qu’il y aura un impact », a déclaré LaToya Cantrell, mairesse de la ville qui est en partie située en dessous du niveau de la mer, lors d’une conférence de presse en début d’après-midi.

Le centre national des ouragans (NHC), qui avait placé dans la matinée une partie de la Louisiane en pré-alerte aux inondations et aux submersions côtières, y compris l’embouchure du fleuve Mississippi, a annoncé une « surveillance ouragan » dans son bulletin de 21 h 00 (17 h à Montréal)

Cela signifie que des conditions potentiellement mortelles pourraient survenir dans les 48 heures suivant la publication de ce bulletin.

Si la tempête se transformait en ouragan comme anticipé d’ici ce week-end, ce serait le premier de la saison dans l’Atlantique et il s’appellerait Barry.

Le gouverneur de la Louisiane, John Bel Edwards, a signé l’état d’urgence, ce qui permet de mobiliser des moyens supplémentaires.

Les consignes des autorités aux habitants dans la zone à risques sont à ce stade de rester chez eux mais la mairesse a évoqué l’éventualité d’évacuations volontaires ou obligatoires ainsi que celle d’un couvre-feu.

La célèbre ville de Louisiane se trouvait mercredi matin en état d’urgence aux inondations soudaines et aux tornades. Dans certains quartiers, entre dix et quinze centimètres de pluie sont tombés, de nombreuses rues étaient sous les eaux, et jusqu’à 10 000 abonnés ont été privés d’électricité.

À 21 h 00, la tempête se trouvait à 200 kilomètres au sud-est de l’embouchure du Mississippi.

Ses vents soufflaient toujours à 45 km/h, soit encore bien en dessous du seuil pour devenir un ouragan (119 km/h). Elle devrait produire une accumulation de pluie de quinze à trente centimètres — parfois même 45 cm — jusqu’au début de la semaine prochaine.

Les autorités locales multipliaient les mises en garde d’autant que le fleuve majestueux flirtait déjà avec son niveau de crue (5,18 mètres) : il s’écoulait à 4,9 mètres à La Nouvelle-Orléans, selon le dernier relevé à 13 h 00.

Les digues protégeant la ville sont prévues pour une crue de 6,10 mètres. Un niveau qui devrait être atteint samedi, selon les météorologues.

La trajectoire prévue de la tempête tropicale BARRY.

La trajectoire prévue de la tempête tropicale BARRY. Le cyclone se consolide et se renforce lentement en atteignant le stade d’ouragan. Sa formation et sa trajectoire rappellent les cyclones Bonnie (1986), Dean (1995) ou Edouard (2008). La tempête tropicale BARRY est pour le moment le seul cyclone en cours, ce vendredi 12 juillet. Par ailleurs, la zone d’investigation a commencé à développer des foyers orageux. Cette faible activité pourrait d’avantage se développer et se concentrer autour du centre pour les 24 à 36 prochaines heures avant de se diriger assez rapidement vers un environnement d’air sec. Elle reste sous surveillance.

La trajectoire prévue de la tempête tropicale BARRY image 02

La trajectoire prévue de la tempête tropicale BARRY image 03

Juillet au potager.

« Qui dort en juillet jusqu’au soleil levant, mourra pauvre finalement »… Et le dicton dit vrai. Le mois de juillet marque le début de l’été, des vacances, les longues heures de prélacement dans le hamac au bord de la piscine. Mais toutes ces activités, aussi joviales et plaisantes soient-elles, ne doivent pas vous faire oublier l’existence de votre potager qui finira par dépérir si vous l’abandonnez en si bon chemin.

Au mois de juillet, le potager se transforme en une véritable auberge espagnole. Des légumes de toutes sortes cohabitent, les uns s’en vont, les autres arrivent et certains sont en cours de voyage. Ce mois sera donc le mois de la maintenance, il va falloir gérer tout ce petit monde et faire en sorte que chacun ait ce dont il a besoin. Pour la plupart d’entre eux un binage régulier sera de mise car les mauvaises herbes débarquées au jardin depuis juin ne sont pas prêtes à décamper sans que l’on ne leur donne un petit coup de binette au derrière. Il faudra également penser à arroser régulièrement, de préférence le soir pour éviter que l’eau ne s’évapore, et prenant soin de ne pas mouiller les feuilles pour éviter les maladies. Et pour que l’eau pénètre plus facilement, griffez la terre pour casser la croute.

  • Butter : pommes de terre, haricots (dès que les premières feuilles sont bien développées).
  • Tailler : concombres, courgettes, tomates
  • Semer : carottes et radis (toujours en semant toutes les deux semaines pour une récolte régulière), laitues, choux, navets.
  • Pensez également à profiter d’une parcelle de jardin vide pour semer vos engrais verts.

Quand le mois de juillet arrive, les pieds de tomates ont beaucoup grandi, il est donc nécessaire de vérifier que les tuteurs sont suffisamment grands et solides pour les soutenir, d’autant plus qu’ils courberont plus facilement avec le poids des fruits. Si vous surprenez l’apparition de gourmands, pincez-les immédiatement (nous parlons bien entendu des gourmands botaniques, inutile de sanctionner la première main s’approchant de vos tomates cerises).

Pour obtenir des têtes d’artichauts bien grosses et tendres, vous pouvez inciser l’artichaut juste en dessous de sa tête, et y insérer un crayon.

Mais heureusement, votre travail sera largement compensé puisque vous pourrez d’ores et déjà récolter et déguster vos carottes, petits pois, radis, ail et laitues.