Expansion fulgurante des dogmes, croyances protestantes évangélistes, en Europe et partout dans le monde.

Les églises protestantes non déclarées, dont les membres se réunissent dans des appartements ou des lieux publics, ont fleuri ces dernières décennies en Chine, dans le cadre d’un renouveau de la croyance religieuse. « Depuis l’ouverture de la Chine en 1979, le courant évangélique, ainsi que ses déclinaisons charismatiques et pentecôtistes, a connu une nouvelle vague d’expansions fulgurantes en Chine continentale, principalement parce qu’il correspond aux besoins du développement d’un protestantisme urbanisé », confirme ainsi Juliette Duléry, doctorante en sciences sociales à Paris Diderot et spécialiste du protestantisme chinois.

En 2010, le Pew Research Center considérait qu’il y avait en Chine 35 millions de chrétiens protestants et 3,3 millions de chrétiens catholiques qui participaient à des églises de maison. Il y aurait aujourd’hui, selon différentes sources, 100 millions d’évangéliques chinois. Selon certaines estimations

La plus forte concentration d’évangéliques se situe aux États-Unis, avec 28,9 % de la population, soit 91,76 millions de fidèles, et au Brésil, avec 26,3 % de la population, soit 51,33 millions de fidèles. Aux États-Unis, les évangéliques, qui comptent certaines églises de courant fondamentaliste, représentent une force politique importante.

Parmi les très nombreux télévangélistes qui ont atteint un vaste public, l’histoire retiendra sans aucun doute le nom de Billy Grapham, un prédicateur baptiste actif mondialement qui parvient à prêcher publiquement dans les pays communistes d’Europe et bénéficie d’une popularité à l’égal des présidents des États-Unis dans l’opinion américaine.

En 2020, selon un chercheur du CNRS, le mouvement compterait environ 660 millions de croyants dans le monde.

Un mouvement issu de la réforme radicale qui a perduré jusqu’à ce jour est l’anabaptisme. Le christianisme évangélique regroupe différents courants de théologie évangéliques, dont les principaux sont fondamentalistes, conservateur, modéré, libéral d’où alphabétisation des jeunes enfants.

En matière de sexualité, plusieurs Églises évangéliques font la promotion du pacte de pureté auprès des jeunes chrétiens évangéliques, qui sont invités à s’engager durant une cérémonie en public à l’abstinence sexuelle jusqu’au mariage chrétien. Ce pacte est souvent symbolisé par une bague de pureté.

Dans les églises évangéliques, les jeunes adultes et les couples non mariées sont encouragés à se marier tôt afin de vivre une sexualité selon la volonté de Dieu.

Une étude américaine de 2009 de la Campagne nationale de prévention de la grossesse adolescente et non planifiée, National Campaign To Prevent Teen and Unplanned pregnancy a rapporté que 80% des jeunes évangéliques non mariés avaient eu des relations sexuelles et que 42% étaient dans une relation avec des rapports sexuels, lors de l’enquête.

La majorité des Églises chrétiennes évangéliques sont contre l’interruption volontaire de grossesse et soutiennent les agences d’adoption et les agences de support social pour les jeunes mères.

La masturbation est vue comme étant interdite par certains pasteurs évangéliques en raison des pensées sexuelles qui peuvent l’accompagner. Aux États-Unis et au Nigeria, d’autres pasteurs évangéliques croient que la masturbation peut être bénéfique pour le corps et qu’elle est un don de Dieu pour éviter la fornication, particulièrement pour les non mariés.

La position conservatrice est très hostile aux personnes homosexuelles et est impliquée dans des causes anti homosexuels et des déclarations homophobes.

Il ne va pas sans dire que ce mouvement s’intensifie encore plus en Europe et partout dans le monde et ce avec les nouvelles actualités pour plus de 600 millions de croyants dans le monde, comme déjà dit précédemment dont certains s’inscrivent déjà en politique.

Quand est-il du terminal Container d’Athus qui devait relier directement au réseau ferroviaire français ?

Annotation 2020-03-28 225030Quand est-il du terminal Container d’Athus qui devait relier directement au réseau ferroviaire français, un investissement de plus de 20 millions d’euros, mené conjointement par Idelux et Infrabel, dans le but de permettre au terminal d’accroître ses activités ? Ce terminal pourrait laisser envisager une force nouvelle et intéressante quant aux échanges entre la France et la Belgique de marchandises à destination franco-belge et belgo-Française et accroître nos marchés communs. Ceci dit, en période dites « Spéciales » de confinement liés au COVID19, que nous connaissons actuellement, il ne va pas sans dire que la reconstruction inévitable et l’accroissement de nos productions ne pourraient cependant pas se faire sans des alliés limitrophes d’échanges. La France pourrait être une ouverture et une chance que nous ne pouvons ignorer. Espérons que les nouvelles actualités n’auront pas mis fin à ce projet ambitieux. 

La sécurité sociale est bien plus ancienne que l’Etat Belge lui-même.

En 1821, la première « société d’assistance mutuelle » a été crée chez les linotypistes de Louvain , caisse de secours mutuel pour ouvriers. Puis naissance de plus de 5000 mutuelles. A la création de l’Etat en 1831, on remarque la reconnaissance des mutuelles (privées et personnelles, cotisations libres, par la loi. Création en même temps de syndicats, ayant pour principale revendication de meilleures conditions de travail, et de caisses mutuelles de chômage pour palier à la perte de revenus suite aux licenciements. Le 21 juillet 1844, une assurance obligatoire pour les marins navigant sous pavillon belge est instituée. Dès 1860 avec le mouvement naissant des ouvriers, les sociétés locales d’assistance mutuelle se transforment en mutualités regroupant différents secteurs.
Des initiatives sont parfois aussi prises par des employeurs comme les caisses de prestations familiales. Suite à des grèves nationales en 1886, l’Etat paie des subsides aux
mutualités (1891). Les mutualités se regroupes alors en «unions nationales». En 1903, l’assurance obligatoire accidents du travail est créée.

Entre 1920 et 1940, un système obligatoire pour pensions de retraite, de survies, de maladies professionnelles, d’allocations familiales et de vacances annuelles se met progressivement en place . Un revenu garanti aux personnes handicapées est également institué.
Les secteurs maladie, invalidité et chômage restent dans le giron des mutuelles et syndicats.

En 1944 signature d’un « pacte social », une paix sociale entre syndicats et patrons, basé sur la solidarité. L’arrêté-loi de Van Acker instaure la sécurité sociale obligatoire pour tous les travailleurs salariés dont les grands principes sont toujours d’actualité, comme une gestion paritaire, l’ONSS créé pour gestion. Toutes les assurances sociales sont obligatoires y compris chômage et maladie invalidité dont les montants sont augmentés à l’époque et harmonisés par la suite.
A l’époque 44% de la population était déjà couverte par les mutualités.

Après-guerre: expansion progressive aux travailleurs indépendants. Et dès 1956, aux divers types de prestations, sauf le chômage.

La sécurité sociale est bien plus ancienne que l’Etat Belge lui-même image 02

Recette de crêpes sucrées faciles.

Recette de crêpes sucrées faciles.

La recette.

Mélangez 1l de lait, 80 gr de sucre, deux sachets de sucre vanillé, 6 œufs avec 300 gr de farine.

Faire cuire dans une crêpière allant sur le feu jusqu’à ce que les bords brunissent. Retournez les et en moins d’une minute retirez les. Et ainsi de suite.

Saupoudré de sucre, cassonade, ou marmelade, c’est un vrai délice.

Bon appétit !!!

Nous, on s’est régalé. 😋

Février au potager.

Anticipez
  • Faites l’inventaire des graines que vous avez déjà, dans le but de réaliser vos commandes. Triez les sachets, vérifiez les dates de péremption et l’état sanitaire des graines et jetez les sachets humides contenant des graines agglutinées ou couvertes de moisissures.
  • Commencez à organiser votre potager pour les mois à venir et faites un plan des futures parcelles en tenant compte de la rotation des cultures et des amitiés entre plantes.
Entretenez
  • Maintenez toutes les protections sur les légumes, le froid n’a malheureusement pas fini de sévir !
  • Incorporez du fumier et du compost sur les planches inoccupées.
  • Ouvrez vos portes de garage dans la journée pour faire entrer de la lumière si vous y avez entreposé des plantes pour l’hiver.
  • Ouvrez les châssis et les tunnels, soulevez les cloches par temps sec et chaud.
  • Vérifier le buttage de vos artichauts selon le temps.
  • Commencez à nettoyer les caissettes à semis, elles vont bientôt reprendre du service.
Plantez
  • Continuez les plantations d’ails, d’oignons jaunes et d’échalotes lorsque le temps le permet et si la terre n’est pas gorgée d’eau.
  • Préparez vos plants à germer de pommes de terre en les installant dans un endroit frais, ventilé et lumineux.
  • Plantez les aromatiques et les plantes destinées aux tisanes bien à l’abri dans une terre drainée avec du sable de rivière et amendée avec du compost : romarin, persil, le thym, sauge, camomille et ciboulette y trouveront leur place.
  • Dans le Sud, plantez les griffes d’asperges et les œilletons d’artichauts.
  • Divisez l’estragon.
Protégez
  • Vérifiez les protections hivernales qui devront être laissées en place tant que le temps ne se réchauffe pas.
Récoltez
  • Récoltez vos choux et vos poireaux.
  • Continuez la récolte des topinambours.
  • Récoltez la mâche et les épinards.
  • Récolter l’oseille.
  • Récoltez les endives.
  • Récoltez les derniers choux de Bruxelles.
Semez
  • Continuez à semer sur couche chaude ou sous châssis, des carottes, des navets, des cardons, des choux-fleurs hâtifs, des radis et de la laitue
  • Semez vos tomates, vos aubergines et vos piments en serre ou en véranda, si vous n’avez pas la chance d’en posséder une, semez en mini serres chauffées à la maison.
  • Semez en pleine terre les fèves, les petits pois, le cerfeuil, les chicorées, le cresson alénois, la mâche et le persil au Sud de la Loire.
  • Semez des poires « melon » sous cloche et découvrez une nouvelle saveur et une plante très facile de culture qui peut même devenir envahissante si les conditions lui conviennent.

La base de la motivation, du bien-être et de la performance par nos 3 besoins fondamentaux.

Trois besoins psychologiques, présumés innés (plutôt qu’appris) et universels, sont à la base de la motivation et de l’intégration de la personnalité, selon la théorie de l’autodétermination.

Cette théorie, dont l’origine remonte aux années 1970 et qui a connu un fort développement en psychologie sociale dans les années 2000, est centrée sur la croyance que la nature humaine présente des caractéristiques positives persistantes (efforts, engagement…) appelées tendances inhérentes à la croissance ainsi que des besoins psychologiques fondamentaux dont la satisfaction est nécessaire au bien-être, au développement et au fonctionnement sain et optimal. L’autonomie est un besoin de se sentir à l’origine ou à la source de ses actions. La compétence, elle, est un besoin de se sentir efficace et capable d’effectuer des tâches de différents niveaux de difficulté. Puis l’appartenance sociale qui rejoint l’idée du besoin de se sentir connecté et supporté par d’autres personnes.

Les conditions qui soutiennent l’expérience d’autonomie, de compétence et d’appartenance favorisent les meilleures formes de motivation et d’engagement dans des activités, ce qui conduit à de meilleures performances, une plus grande persévérance et plus de créativité. À l’inverse, si un de ces trois besoins n’est pas comblé dans un contexte donné, la santé psychologique en souffre et la croissance personnelle est entravée.

Le sentiment d’être contrôlé de l’extérieur ou d’être inefficace compromet la motivation intrinsèque et amène à être contrôlé par des critères externes tels que le chèque de paye ou l’approbation d’un supérieur.

Par ailleurs, un développement personnel est favorisé par l’intégration et l’internalisation d’idées et de comportements qui étaient à l’origine motivés par des forces extérieures, ou par l’acceptation et la valorisation de comportements initialement accomplis pour des raisons externes. Mais, selon la théorie de l’autodétermination, cela ne peut se produire que si les trois besoins de base sont rencontrés.

Ne plus courir après l’indifférence et reprendre estime de soi; c’est dire stop à une forme de violence.

Pourquoi vous rendre malade pour des personnes qui font preuve d’indifférence envers vous et qui ne tiennent pas compte de vous ? Il est fondamental d’apprendre à s’en rendre compte et surtout, à s’aimer soi-même.

Ne courez pas derrière quelqu’un qui ne vous offre que de l’indifférence. Qui vous impose des choses ou qui vous demande de lui baiser les pieds en permanence. Ne le faites pas car qui vous mérite vraiment, vous veut à ses côtés et non pas à ses pieds. N’oubliez pas que l’indifférence est la meilleure preuve de « non-amour »Si cette personne peut encore vous apporter quelque chose, elle le fera. Sinon, un adieu est la meilleure reconnaissance que vous pouvez vous offrir à vous-même. L’intérêt, la tendresse et l’amour ne parlent pas le même langage que l’égoïsme ou l’indifférence. L’attention ne se quémande pas, ni ne s’accepte en miettes. Si vous acceptez cela, vous développerez une grande forme d’injustice émotionnelle vis à vis de vous. La tendresse doit démontrer de l’équilibre car c’est le ciment d’une relation.

Tu n’es pas tout et je ne suis pas rien

L’indifférence des autres finit par nous faire penser que nous n’en valons pas la peine. Et que nous ne sommes pas des personnes intéressantes pour les autres. Cependant, nous ne pouvons pas nous permettre de payer ce prix si élevé. Il est facile de finir par penser cela quand les preuves d’indifférence et de dégoût deviennent constantes envers nous-mêmes, dans les échanges que nous vivons et dans la construction d’une relation sérieuse. Il ne s’agit pas de mépriser les autres. Mais de nous valoriser nous-mêmes. Et rendre nos besoins affectifs et nos inquiétudes importantes. C’est le pilier basique qui soutient les relations solides et saines.

L’intérêt mutuel et la réciprocité sentimentale sont des choses auxquelles nous ne devons jamais renoncer. Pas même au nom d’une relation stable qui dure depuis de nombreuses années. De fait, nous ne parlons pas seulement du bien être individuel. Mais de celui d’autrui ainsi que celui de nos relations.

Les trois ensemble nous permettent de rendre nos relations gratifiantes et justes. Dans ces conditions, nous serons en capacité de nous épanouir à côté des autres. Votre numéro de téléphone n’a pas changé. Si on ne vous appelle pas, c’est que l’on est indifférent.

Pensez que quand quelqu’un aime, il est capable de remuer ciel et terre pour être à vos côtés et vous faire vous sentir bien.

Il se peut que certaines absences soient la conséquence de l’inexactitude de la vie. Des agitations quotidiennes et d’un vrai manque de temps. Cependant, le désintérêt réitéré est celui qui marque l’indifférence.

Le fait de ramper et de supplier pour quémander de la tendresse qui n’est pas sincère, n’est pas sain.

Il se peut que certaines preuves vous attendrissent. Mais si l’équilibre n’est pas présent et que vous devez regarder à la loupe les raisons pour lesquelles vous restez dans cette relation, ce n’est pas une bonne chose. Si véritablement vous ressentez une injustice émotionnelle, vous être en train de vous soumettre à une relation qui provoque en vous une grande souffrance. Vous ne devez pas vous transformer en marionnette des besoins des autres. Ni obéir à tous leurs caprices. Vous devez vous faire valoir et savoir ce que vous voulez.

Permettez-vous de ne pas accorder trop de crédit à cette personne qui est indifférente.

Vous avez le droit de ne pas vous soumettre à la punition de l’indifférence. De fait, vous devez commencer à vous mettre en valeur et à vous aimer. Les miracles n’arrivent pas et, comme nous l’avons dit, l’amour doit se démontrer et se sentir, mais jamais être imploré. Vous devez être tendre avec les personnes qui vous aiment, qui vous acceptent et qui vous comprennent sans jugements ni exigences.

N’offrez pas votre temps libre à la personne qui ne profite pas de votre présence

Il est fréquent de ne pas mettre en valeur ce que nous sommes. De se négliger et de ne pas profiter des opportunités que nous avons pour nous rapprocher des êtres aimés. Cependant, l’indifférence continuelle a d’autres couleurs et nous pouvons voir dans leur reflet l’égoïsme et le désintérêt démesuré. Ce laisser-aller propre à l’indifférence est parfois empreint de mépris. Ce qui provoque des situations très douloureuses qui détériorent la vision que nous avons de nous-mêmes et de nos relations avec les autres. Dans ces cas où l’indifférence réduit notre estime et notre santé émotionnelle, nous devons apprendre à ne pas offrir tant de temps libre. Car notre présence n’est pas appréciée à sa juste valeur.

Comme nous l’avons dit, nous ne devons pas nous résigner face à la dévalorisation et à la négligence. Car nous finissons par penser que nous sommes de mauvais compagnons de vie et que nous ne méritons pas le respect des autres.

Se valoriser soi-même

C’est pourquoi, nous devons comprendre que pour que nous nous sentions valorisé, nous devons tout d’abord nous valoriser nous-même. Ainsi, la première étape pour prendre soin de l’image de soi-même, est de se rendre compte que l’indifférence que nous impose cette autre personne doit nous servir à réaffirmer tout ce qui a un lien avec notre amour propre et notre propre épanouissement personnel. N’oubliez pas de sourire dans le miroir. Aimez vous et valorisez vous pour ce que vous êtes. Et non pas pour ce que les autres veulent protéger chez vous. Aimez-vous et rendez-vous compte que le fait que quelqu’un vous néglige ne signifie en aucun cas que vous devez vous résigner et lui obéir. Entourez vous toujours de personnes qui vous veulent dans leur vie. Car celles qui ne vous aiment pas véritablement vous feront souffrir. Cela ne nous fait pas de bien de donner sans recevoir. C’est pour cela que nous devons nous rendre compte que le fait de rester aux côtés d’une telle personne peut nous emmener trop loin sur le chemin de la vie. Nous pourrions perdre quelques années de vie. Et cela, nous ne pouvons pas nous le permettre. Jamais.

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Okido Play, un bracelet connecté qui permet de suppléer à la vigilance des parents.

https://youtu.be/Ms-TapyhqbQ

Régis Coli, papa d’une trentaine d’années avant la création technologique d’un bracelet connecté, visite en famille un grand parc d’attractions et perd son enfant de 2 ans et demi. C’est seulement au terme de la dixième minute que ce papa créateur technologique, retrouve son fils, alors qu’il jouait simplement à moins de 20 mètres de lui. Après avoir réfléchi à comment gagner du temps et localiser rapidement son enfant en pareille circonstance, alors qu’il est propriétaire de la société ACAS Technologie, il crée la marque Okido dont son premier développement consiste à un bracelet permettant de suppléer à la vigilance des parents. Bien que nombreuses applications existent déjà sur smartphones, cette montre possède une série de paramètres acceptables, ainsi qu’un seuil de sensibilité. Si l’enfant s’en éloigne ou perd son bracelet, une alarme se déclenche aussitôt.

Grossesse gémellaire ; Porter deux enfants ou plus, est considéré comme étant à risque et mérite une surveillance rapprochée.

On parle de grossesse multiple ou gémellaire lorsqu’une femme attend plusieurs enfants : des jumeaux, des triplés, des quadruplés… voir plus. Ce type de grossesse est considéré comme à risque. Sur le plan médical, lors d’une grossesse multiple, plusieurs cas de figures sont possibles : les embryons sont issus du même ovule fécondé (on parle de « vrais jumeaux » ou monozygotes) ou bien issus d’ovules différents (on parle alors de « faux jumeaux » ou dysigotes) les embryons se développent dans un ou plusieurs placentas. Les embryons se développent dans une ou plusieurs poches amniotiques.

Les risques de complications pour la maman

La grossesse gémellaire met le corps de la mère à rude épreuve. Il existe un risque accru de diabète gestationnel, de surcharge pondérale, d’anémie, d’hypertension et de prééclampsie.

Les risques de complications pour les bébés

Le retard de croissance et la prématurité sont les deux grands risques encourus par les jumeaux. Le risque de malformations est également un peu plus élevé, particulièrement chez les monozygotes, c’est à dire les vrais jumeaux.

Suivi des grossesses multiples

Une échographie précoce permet de définir le type de grossesse gémellaire et d’organiser son suivi. Une fois par mois, une échographie est réalisée afin de surveiller le bon développement des foetus. Une visite mensuelle est également prévue chez votre gynécologue afin de suivre de près l’état de votre col utérin. De manière générale, vous devez vous ménager, vous faire aider, éviter les tâches difficiles et les longs trajets en voiture.

L’accouchement

Dans le cas d’une grossesse multiple, l’accouchement se fait, si possible, par voie basse, c’est-à-dire par les voies naturelles. Une césarienne n’est pratiquée que si votre premier jumeau à naître est mal positionné ou si l’un des bébés présente une souffrance fœtale. L’accouchement peut être déclenché avant le terme si les examens montrent que les bébés n’ont plus assez de place et de liquide amniotique pour bien se développer. Une grossesse gémellaire nécessite un diagnostic précoce, une surveillance étroite et du repos. Les grossesses multiples peuvent être mises en évidence dès la première échographie, avant le 3ème mois. Dès la 22ème semaine de grossesse, une échographie est réalisée chaque mois. Deux échographies mensuelles peuvent par ailleurs s’imposer si les jumeaux partagent le même placenta. Enfin, des consultations hebdomadaires sont conseillées pendant les dernières semaines de la grossesse, n’hésitez pas à demander conseils auprès de votre médecin. Aussi, le choix de la maternité est donc très important, car tout est prévu et préparé à l’avance pour accueillir les jumeaux, triplés, etc…

Les sujets stressés présentent un risque accru d’au moins 100% de connaître une crise cardiaque.

D’après une enquête menée par Belhealth et soutenue par Sciensano, qui surveille la santé et les maladies, le stress peut s’avérer préjudiciable à la santé des individus. Elles ont en effet au moins deux fois plus de risques d’être victimes d’une crise cardiaque. On reconnaît maintenant le stress comme un problème de santé préoccupant. Elles ont en effet au moins deux fois plus de risques d’être victimes d’une crise cardiaque.

Une crise cardiaque est une urgence médicale. Le cœur est souvent privé de sang en raison d’un caillot sanguin, ce qui entraîne une crise cardiaque. Lorsque le tissu cesse d’être irrigué, il perd de l’oxygène et meurt. Les signes avant-coureurs et symptômes sont des douleurs à la poitrine, pouvant s’accompagner de sensations : de serrement, de malaise, des douleurs qui irradient, pouvant s’étendre : En commençant par la poitrine. Essoufflement, pâleur, sueur et faiblesse générale, nausées, vomissements et parfois indigestions, peurs et anxiété. 

Le stress n’est pas la cause principale de l’hypertension artérielle mais il peut la favoriser ou l’aggraver. Certains patients présentent une réactivité tensionnelle anormale au stress, réaction intense et prolongée, qui augmente leurs risques cardiovasculaires.

Chez la femme, on peut le reconnaître  par une sensation de grande fatigue, un essoufflement récurrent, la perte d’appétit, des douleurs à l’abdomen, des brûlures d’estomac accompagnées de douleurs dans le bras gauche, l’apparition de symptômes grippaux et les brûlures. Parmi les facteurs de risque d’athérome, et donc d’infarctus du myocarde, certains peuvent être influencés par le tabagisme, l’excès de cholestérol et le diabète.